Cette lampe passion Citroën DS21 Chapron Lorraine, est réalisée à partir de pièces détachées Citroen.
Cette création passion Citroën est une pièce unique, chic et élégante et respectueuse de l’environnement.
Cette lampe passion Citroën est électrifiée par un transfo 12 V, niché dans les pipes d’injection d’une DS21 Chapron Lorraine de 1969, avec 4 led 12 v de 5W chacune.
Pour ce luminaire passion Citroën il a été ajouté et un petit interrupteur “antique années 50/60 en céramique” que vous apercevez.
Le socle, de cette création artistique, “passion Citroën” est un mécanisme d’embrayage, un Arbre a came et sa poulie servent de pieds.
Pour les fans de Citroen, il a été ajouté en partie basse de cette création “passion Citroën”, un petit support réalisé artisanalement, afin de placer une DS21 Chapron Lorraine 1/18 neuve, les phares s’éclairent avec une pile.
Pour l’expédition cette miniature passion Citroën, elle est mise dans sa boite d’origine.
Dimension de l’œuvre passion Citroën : 80 cm de haut par 32 cm de large le poids 14 Kgs.
Avec cette lampe passion Citroën DS21, vous surprendrez vos convives.
Le nom de Henri Chapron est devenu indissociable de celui de Citroën. Mais la carrière du carrossier remonte beaucoup plus haut dans le temps que son association avec le quai de Javel.
Venu très tôt à l’automobile, Chapron s’oriente tout de suite vers les métiers de la carrosserie pour y créer sa propre entreprise avec succès. Ainsi, son nom va briller longtemps au panthéon des grands couturiers de la carrosserie française pendant l’Age d’Or des années 1920, 1930, jusqu’à rester un des derniers en activité et cela jusqu’en 1985. Son entreprise se trouvait dans l’ouest parisien, rue Aristide Briand à Levallois-Perret.
Si la marque Citroën va permettre à la Carrosserie Chapron d’assurer sa pérennité, la signature s’en était imposée en habillant d’un style classique mais identifié, des châssis de grandes marques, Delage, Delahaye, Hotchkiss, Rolls-Royce, Talbot, Ferrari. D’ailleurs, les archives des concours d’élégance d’Enghien ou du Bois de Boulogne s’en souviennent encore.
A l’issue de la Deuxième Guerre Mondiale, le monde avait changé sur le plan économique. D’abord, sur le plan industriel ensuite : la clientèle capable d’assumer le coût d’une voiture exclusive se raréfiait et l’automobile se démocratisait à toute vitesse.
Une autre question se posait, technique celle-là, l’avènement des carrosseries monocoques rendait délicat les perspectives d’élaboration de cabriolets à partir de berlines. Une caisse autoporteuse se conçoit plus difficilement en cabriolet là où un solide châssis apporte toutes les garanties de rigidité.
A ce stade Citroën se dit convaincu de la validité d’inscrire un cabriolet dans la gamme DS/ID, la prévision de cadences réduites pour une telle voiture ne suffisant pas à une réelle industrialisation, le modèle sera manufacturé et confié à Henri Chapron. Et c’est là que tout va changer pour le carrossier, d’abord avec une garantie de commandes inespérée, ensuite pour le processus de construction de ses modèles.
En effet à compter de ce moment, Citroën va fournir des plateformes spécifiques à Levallois, mais surtout, va consentir à procurer les mêmes embases au carrossier pour sa propre production. Ces plateformes préparées quai de Javel sont faites d’un plancher de berline assemblé à des longerons de break, sur lequel on remet des passages de roues arrière de berline et des bras de suspension arrière de break. On reconnait ces embases aux deux tétons de cric apparents sur les longerons, des éléments valables donc pour la datation des modèles Chapron.
D’autres éléments stylistiques apparaissent aussi sur la production du cabriolet DS dit ‘usine’, des pare-chocs arrière aux retours rallongés ainsi que des doubles feux ronds de signalisation à l’arrière. Ces éléments se retrouveront également sur les Chapron.
Il en résulte que deux productions vont exister en parallèle et au Salon d’octobre 1960 lorsque Citroën expose son premier cabriolet décapotable, le visiteur peut découvrir à proximité sur le stand Chapron, une gamme de modèles hors-série composée d’un cabriolet ‘La Croisette, d’un cabriolet ‘Le Caddy, d’un coupé ‘Le Dandy’ et d’un coach ‘Concorde’ récemment apparu courant été 1960. L’aspect suranné du ‘Le Paris’ seulement produit à 9 exemplaires, avait motivé son remplacement par ce nouveau coach, baptisé ‘Concorde’ pour rester dans l’esprit parisien.
Cette fois le dessin a intégré un pavillon moderne aux piliers légers, parfaitement homogène dans son profil avec les lignes de la Citroën. Le premier modèle, celui de la présentation est basé sur ID 19, de couleur beige métallisé et toit marron, il a une sellerie traitée en drap et cuir.
A la fin de 1968 Citroën et Chapron livre à l’Elysée une DS 21 Présidentielle aux formes exacerbées qui sont d’ailleurs à l’origine de la malle arrière géométrique du ‘Le Léman’ mais avant cela d’une nouvelle berline au vocable de ‘Lorraine’ , baptisée ainsi en hommage au général De Gaulle et à sa région d’origine.
La Carrosserie Chapron inscrit cette voiture au catalogue en 1969, alors que la ‘Majesty’ est encore commercialisée.
La ‘Lorraine’ revendique une personnalité forte, de grande voiture moderne aux prestations routières incomparables en DS 21 dans un premier temps, en DS 23 depuis 1973. Chapron la propose en habillage intérieur Prestige à séparation intérieure, une vingtaine de ‘Lorraine’ ont vu le jour, les deux dernières en 1974 commandées par une banque espagnole, elles seront blindées et équipées d’un pare-brise en trois éléments sensé éviter au chauffeur les déformations visuelles.
C’est avec certaines pièces de cette DS21, qu’est née la création unique “passion Citroën”
Cette création nommée “Passion Citroën” c’est une lampe à poser dans le salon ou sur un bureau. Elle apportera une touche “Passion Citroen” originale pour fans d’automobiles
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